« Lors de la distillation dans un alambic des essentielles, la vapeur d’eau qui entraîne les essences aromatiques se condense dans le serpentin et redonne de l’eau. Cette eau, que l’on sépare de l’huile essentielle dans l’essencier, contient des particules aromatiques (entre 2 et 5 %) naturellement dissoutes et des informations vibratoires de la plante qu’elle a traversée. On la nomme alors hydrolat ou eau florale. »

Extrait du « Guide précis des eaux florales et hydrolats les plus courants » de Christophe Drezet

« Lorsqu’on distille les plantes aromatiques, on conserve une quantité déterminée de l’eau qui a servi à la distillation. Cette eau, appelée hydrolat ou hydrosol (terme répandu dans les pays anglo-saxons) contient une dose réduite de molécules aromatiques mais aussi des molécules strictement solubles dans l’eau. » 

Extrait du « Guide des hydrolats » de André Bitsas